lundi 27 août 2007

Et le premier Café de la rentrée est...



...le Ciné-café qui reprendra ses activités dès le 3 septembre avec un programme plutôt alléchant. Jugez par vous même :
- compte rendu des activités de l’été (festivals divers, en attendant les festivals d’hiver) et projets avec la comédienne Martine Sarcey
- rubriques variées dont une nouvelle, consacrée aux liens séries télé – cinéma (Youhou Rintintin !)
- Art Dumont’age : quelques images du cinéma classique commentées par notre ami Alain
- Quelques nouvelles du cinéma Mercury
- Reprise et poursuite du grand débat sur les films de l’année 2007, en vue des présélections pour les Goélands de fin d’année.
On se retrouvera donc au restaurant O staff, rue Paul Déroulède (et oui...) dès 19h00 pour ce rendez-vous incontournable de la cinéphilie niçoise toujours animé (et avec quelle maestria!) par Daniel Fimbel.
Nous vous rappelons que la salle est prêtée par le O staff et qu'il est fortement conseillé de consommer...

Pour ceux qui le voudraient, il sera possible de manger après le Ciné-Café vers 21h00.


Le mercredi 5 septembre suivra le Café de la Démocratie au Bici-bar. Nous en reparlerons...



Je voudrais en profiter pour revenir sur un bref article de Nice Matin de dimanche qui signalait l'annulation au dernier moment d'un Café-Philo (le Café à penser) qui devait se tenir à la brasserie de la Buffa, M. Louis Gay , le gérant, expliquant : "Ce sont des personnes bizarres. S'ils m'avaient dit qu'ils venaient jouer aux cartes, il n'y aurait pas eu de problèmes". ..
Un intellectuel quoi!
C'est d'ailleurs un problème récurant que ce manquement à la parole donnée de certains gérants qui cessent leur collaboration sans préavis avec les organisateurs de divers Cafés sous des prétextes quelquefois incompréhensibles.
L'explication politique ou commerciale ne tient pas pour le Ciné-Café, par exemple, viré du jour au lendemain de l'établissement la voix de son maître, place Grimaldi, sans explication cohérente.
Encore un sujet sur lequel nous reviendrons...



En attendant, rendez-vous ce lundi.

dimanche 19 août 2007

Vacances Sarkoziennes...





Pour tout vous dire, on voulait passer nos vacances à Wolfeboro aux USA. Mais la maison que l'on avait en tête était déjà occupée par les Sarkozy. En plus, on a pas trouvé de sponsor pour le voyage et l'hébergement. Alors, on a essayé de faire une petite croisière en yacht (même un petit 18 mètres aurait fait l'affaire). Mais là non plus, pas de généreux donateur. Du coup on est allé voir notre copain Karim à Freiburg et là, comme des princes, on a visité la forêt noire, on a navigué sur le lac... tout pareil que l'autre mais à moindres frais, faut dire que c'était nos deniers !
Rassurez vous, on préfère la compagnie de Karim à celle de Bush...





samedi 4 août 2007

Remous à la fédération 06 du PS



Emeric Lavitola, vient de démissionner avec pertes et fracas de son poste de secrétaire fédéral aux universités pour les Alpes maritimes. Dans une lettre ouverte au premier secrétaire fédéral Patrick Allemand, il explique son geste : "Je décide par la présente de démissionner de ma responsabilité suite à un désaccord profond sur la manière dont tu gères la fédération 06 du Parti Socialiste.(...) L'accession à de nouveaux mandats semble être le guide de l'action fédérale. Les responsables ne sont que les représentants de tous ses gens dévoués à défendre notre idéal socialiste. Elle ne doit pas servir de marchepied pour la carrière personnelle de responsables du Parti".

A quelques semaines d'une élection interne primordiale pour le PS local, on ne pouvait pas mieux dire...

jeudi 2 août 2007

Kouchner croit-il ce qu'il dit?


Quelle tristesse que de voir Bernard kouchner s'empêtrer dans de pieux mensonges pour expliquer que "Non, la France n'a pas négocié la libération des infirmières bulgares contre la vente d'armes à la Lybie". C'est pourtant le fils de kadhafi lui même qui révèle l'info. C'est lui qui a négocié l'affaire côté lybien et on ne voit pas bien pourquoi il mentirait.

Quant à Kouchner, il fut à une époque une autorité intellectuelle pour la gauche à défaut de pouvoir obtenir le moindre mandat électif. Le temps a commencé à se gâter lors de l'intervention américaine en Irak. Ses prises de position en faveur de la participation française à cette guerre m'avais affligé. Pourtant j'avais compris sans l'excuser (plus que pour d'autres, nous y reviendront) sa décision de participer au gouvernement. A 67 ans et sans perspective de retour au pouvoir de la gauche, il a pu se laisser tenter.

Mais là, nous frisons le ridicule...

Défendre une position, alors qu'il n'était probablement même pas au courant de ce qui se passait, et avec le sourire s'il vous plaît...

Oui la fin de carrière du French doctor s'annonce pénible.

Pour lui et pour nous...

Sad, sad Rickie lee...


J'avais découvert Rickie lee Jones dans les années 80 à un concert "MIDEM" à Cannes. En deux chansons seulement, et au milieu d'autres artistes à la production plutôt médiocre, elle m'avait tout simplement subjugué. dès le lendemain je m'étais procuré ses deux premiers albums (Pirats et Rickie lee Jones) que je continue à considérer comme des chefs d'oeuvre. L'un de mes premiers enregistrements sur le tout nouveau magnétoscope de ma mère avait été son fabuleux concert au Casino de Paris en 1983. (Pour les plus jeunes, j'indique qu'un magnétoscope est cet appareil antique ou il suffisait d'appuyer sur deux boutons après avoir mis ce qu'on dénommait une cassette VHS à l'intérieur pour enregistrer ce qu'il y avait à la télé. Dorénavant, ce blog aura aussi une fonction pédagogique). Depuis plus rien à signaler dans le coin. Une vague rumeur de concert privé à Cannes dans les années 85 et c'est tout.

C'est vous dire avec quel empressement j'ai pris mon billet. Même si le concert avait lieu à Monaco et Même si c'était 70 Euros (drink compris...).

Las.

Après une entrée en matière plutôt ratée, miss Rickie lee s'est mise à invectiver le public : "Je sais qui vous êtes mais si vous continuez à être aussi amorphes je me casse, si je vous ennuie dites le moi""Je sais que vous êtes riches mais quand même... moi aussi j'étais riche il n' y a pas si longtemps". Voilà, en gros, à quel type de réflexion nous avons eu droit deux ou trois fois durant un concert bien médiocre et assez court. rickie lee Jones ne s'est pas "cassée" mais est tout de même partie avant la fin de la dernière chanson...

Alors?

Rickie lee sous l'emprise de substances diverses et variées?

Peut être mais avec une carrière comme la sienne, elle a du assurer des concerts dans d'autres états. Ou alors il fallait répéter plus...

Déçue par l'affluence?

J'ose avancer l'hypothèse du prix prohibitif des places.

Quoi qu'il en soit, Rickie lee Jones se devait de respecter son (maigre) public ou choisir d'autres types d'engagement...

Sad,sad,sad... comme diraient les Rolling stones qui eux s'y connaissent en matière de concert.